Une blonde doit se rendre en ville mais n'a pas de moyen de locomotion, car
elle a raté son permis de conduire une bonne douzaine de fois. Elle fait
du stop et après quelques minutes, un type s'arrête et accepte
de l'emmener jusqu'au centre-ville. En chemin, il engage la conversation :
- Je suis voyant, je prédis l'avenir.
- C'est super, et comment vous faites ça ?
- J'ai appris avec un grand maître druide.
- Et ça rapporte beaucoup ?
- Environ 450 francs la demi-heure.
Etonnée et très intéressée, elle demande :
- Vous accepteriez de m'apprendre le métier ?
- Bien sûr, mais il faudrait vous initier.
Elle accepte et le type arrête sa voiture sur un petit chemin au bord
de la route.
- Il faut que je vous attache toute nue à cet arbre. Ne vous inquiétez
pas, ça fait partie de l'initiation. Vous serez ainsi en communication
avec la nature...
Elle accepte et le type la déshabille, l'attache toute nue à l'arbre,
puis il commence à baisser son pantalon. Alors la blonde lui dit en fronçant
les sourcils :
- Ho la la, je devine ce que vous allez me faire.
Et le type lui répond avec un grand sourire de satisfaction :
- Vous voyez, ça marche déjà...
Je m'ennuie en classe
Toto se plaint à sa maîtresse:
- Madame, je m'ennuie en classe. Je connais toutes les réponses. Je suis
en CE2 et j'en sais plus que ma soeur qui est en CM2. Mes parents pensent que
je devrais passer une classe!
L'institutrice demande à Toto de la suivre chez le directeur pour lui
faire passer un test. Pendant que Toto attend dans le couloir, l'instit explique
le problème au directeur. Les deux enseignants se mettent d'accord pour
faire passer un examen à Toto. Si les réponses sont bonnes, Toto
pourra passer une classe.
On demande alors à Toto d'entrer dans le bureau. Ensuite, le directeur
demande:
- Alors Toto, dis-moi, combien font 3 x 3?
- 9
- Et combien font 6 x 6?
- 36
- Et combien font 9 x 9?
- 81
Et ainsi de suite; à chaque question du directeur, Toto fournit la bonne
réponse, et le directeur est satisfait.
- Pour moi, pas de problème, Toto peut sauter une classe.
L'institutrice n'est pas totalement convaincue. Connaissant la propension de
son élève à ne penser qu'au sexe, elle propose au directeur
:
- Laissez-moi lui poser mes questions à moi avant de prendre une décision.
Le directeur et Toto -qui arbore un sourire malicieux- étant d'accord,
l'institutrice commence:
- Toto, une vache en a quatre, et moi je n'en ai que deux. De quoi s'agit-il?
- De vos jambes, madame.
- Toto, qu'y a-t-il dans ton pantalon et que je n'ai pas?
Les yeux du directeur s'ouvrent tout grand à cette question, mais avant
qu'il n'ait le temps de dire quoi que ce soit, Toto répond:
- Des poches, madame.
Le directeur respire un grand coup en guise de soulagement, puis il dit à
l'institutrice:
- Je pense qu'on peut faire sauter une classe à Toto sans problème...
J'ai moi-même répondu faux à vos deux questions...
Dans ma tasse, le café reflète mes idées noires...
Un homme optimiste est celui qui va au restaurant sans un sou et qui espère
payer avec les perles qu'il trouvera dans les huîtres...
Le rire c'est comme les essuie-glaces, il permet d'avancer même s'il
n'arrête pas la pluie...
On dit d'un accusé qu'il est cuit quand son avocat n'est pas cru...
Pour se marier, il faut un témoin, comme pour un accident ou un duel...
Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c'est d'y succomber...
La virginité c'est comme une mouche sur le dos d'une vache : un coup
de queue et... PFUIT, envolé...
Les poules pondent des oeufs et les coqs ont des ailes car les poules ont
besoin d'eux et les coqs ont besoin d'elles...
J'ai un ami horticulteur qui est voyant : il lit dans les pensées...
L'avantage d'être intelligent, c'est que l'on peut toujours faire
l'imbécile alors que le contraire est totalement impossible...
Plus il y a de gruyère, plus il y a de trous. Or, plus il y a de
trous, moins il y a de gruyère. Donc plus il y a de gruyère,
moins il y a de gruyère...
C'est un gars qui envoie à une amie des bas culotte en guise de cadeau
de Noël. Il fait inscrire sur une jambe
"Joyeux Noël" et sur l'autre jambe "Bonne Année".
Il reçoit un appel téléphonique de son amie pour le remercier
de son cadeau.
Elle termine son appel en lui disant: "Tu viendras m'embrasser entre les
deux fêtes!"
Note: je suis parvenu Ă la conclusion que le passage de l'aspirateur ne s'imposait qu'une fois par semaine... maximum. Saucisses au dĂźner et au souper.
La couleur de l'argent
L'histoire se passe il y a quelques lustres. Dans une petite ville de province,
un jeune étudiant dont les parents n'avaient que peu de moyens trouvait
l'argent pour payer ses études grâce à des petits travaux
tels que livraison de journaux, nettoyage des trottoirs, commissions pour les
personnes âgées, etc. Aux gens de la ville qui lui demandaient
si il pensait faire cela toute sa vie, le jeune garçon répondait
systématiquement:
"Quand j'aurai mon diplôme, je m'achèterai une voiture de
sport et j'irai aussi passer une nuit dans la maison close à l'autre
bout de la ville, pour me prendre du bon temps avec une des filles de là-bas.
Et puis alors, je voyagerai de par le monde!
Un beau jour, il obtint le diplôme tant convoité.
Il fit alors comme il l'avait toujours dit: il s'acheta une voiture de sport
d'occasion, et avant de quitter la ville, s'arrêta à la maison
close locale.
S'adressant à la tenancière du bordel, il dit qu'il désirait
se faire dépuceler.
La mère maquerelle lui montra alors la grosse Berta, une Martiniquaise
plantureuse. La fille lui dit "Ça sera 10000 francs mon tout beau
(il s'agissait d'anciens francs).
Le jeune homme fouilla dans sa poche et toute la somme qui lui restait ne dépassait
pas 9500 francs. La grosse Berta resta intraitable: "Pas question de faire
un rabais"
Déçu, le pauvre jeune homme allait sortir lorsque la tenancière
l'attrapa par la manche. "Eh bien mon garçon, pourquoi es-tu si
triste?".
Le jeune garçon lui fit part alors ses problèmes financiers et
la tenancière prit un ton conciliant pour dire: "Allez, viens avec
moi. Je vais te le faire disparaître, moi, ton pucelage". Et après
lui avoir pris tout ce qui lui restait comme argent, elle l'emmena dans sa chambre.
Le soir même, le jeune homme quittait la ville dans sa voiture d'occasion,
sans un sou, mais il n'était plus puceau. Dix-sept années passent.
L'ex-jeune homme est de retour dans cette petite ville de province. Il vient
rendre visite à tous ceux qui l'ont connu pendant ses années d'études.
Sa première étape est pour la maison close où c'est toujours
la même mère maquerelle qui l'accueille...
- Mais... je vous reconnais vous! Vous êtes le jeune homme qui n'avait
que 9500 francs en poche et qui voulait se faire dépuceler!
- Oui, c'est bien moi....
- Il faut que je vous montre quelque chose. Venez avec moi.
Et là dessus, elle l'emmène dans l'arrière-cour de la maison,
là où un jeune adolescent est en train de fendre du bois à
la hache. Lorsqu'ils arrivent près de lui, elle lui dit:
- Mon fils, voici ton père.
Aussitôt, le regard de l'adolescent resplendit du plus beau des sourires.
Il prend les mains de son géniteur et lui demande
- Monsieur ou devrais-je dire papa, puis-je connaître votre nom?
- Je m'appelle Freddy Vandekerkove...
Le jeune homme fait une sorte de grimace et répond:
- Quoi? Alors ça veut dire que je suis à moitié belge?!?!
Et le monsieur lui dit:
- Ça aurait pu être pire, mon garçon: si j'avais eu cinq
cent anciens francs en plus, tu aurais été noir!
Un distingué sexologue se rend compte que les gens mentent souvent sur
la fréquence de leurs relations sexuelles, donc il imagine un test qui
lui dit sans erreur combien de fois une personne a des relations.
Pour prouver sa théorie, il remplit un auditorium plein à craquer
et il descend l'allée tout en demandant au gens de sourire. En utilisant
la dimension du sourire de la personne, le thérapeute est capable de
deviner correctement, jusqu'à ce qu'il arrive au dernier homme de la
dernière rangée qui a le sourire fendu jusqu'aux oreilles.
- Deux fois par jour, " le thérapeute estime, mais il est surpris
quand l'homme dit
- Non.
- Une fois par jour, alors?
- Non.
- Deux fois par semaine?
- Non.
- Deux fois par mois?
- Non.
.......
- Une fois par année
- Oui
Le thérapeute est fâché que sa théorie ne fonctionne
pas et demande à l'homme:
- Voulez-vous bien me dire pourquoi vous êtes si heureux?
- C'est ce soir!
Hécatombe à la morgue
Ce matin, l'employé de la morgue vient de recevoir trois cadavres et
chacun des trois corps arbore un sourire béat. Intrigué, il cherche
à en savoir plus et se renseigne auprès des infirmières.
L'une d'entre elles lui répond:
- Celui-ci, c'est Roger le boucher. Il a eu une crise d'apoplexie quand il a
appris qu'il avait gagné les six bons numéros du loto...
Le grand là, c'est un avocat. Tu connais la fille du directeur de l'école?
Oui? Eh bien il est mort alors qu'elle était en train de lui faire une
pipe!
- Eh le dernier? C'est pas Willy Vandeputte, le marchand de vélos?
- Oui, c'est bien lui. Hier soir il y avait un orage terrible et il est sorti
en disant qu'il voulait être sur la photo...
La retraite a 55 ans !
L'autre jour, c'était la dernière tournée du facteur avant
son départ à la retraite : trente ans qu'il nous distribuait le
courrier par tous les temps, et toujours avec le sourire. Alors tous les gens
du quartier s'étaient passés le mot, et tous avaient décidé
de "marquer le coup".
Lorsqu'il arriva à la première maison, il fut congratulé
par les parents et les enfants.
On lui offrit une coupe de champagne et une petite enveloppe.
À la deuxième maison, ils lui offrirent une boite de cigares.
À la troisième maison, c'était un billet pour un concert
de Madonna.
À la quatrième maison, c'est une ravissante jeune femme blonde
en chemise de nuit transparente qui l'attendait : elle le prit par la main et
l'emmena dans la chambre où ils firent l'amour passionnément...
Au bout d'un moment, le facteur qui était resté une fonctionnaire
modèle, pensa qu'il était temps qu'il reprenne sa tournée.
La femme lui dit alors:
- Ne partez pas: je vous ai aussi préparé un bon petit déjeuner.
Et effectivement, sur la table de la cuisine l'attendaient du café, du
chocolat, du lait, des croissants, des céréales, du jus d'orange,
des oeufs au bacon, etc. Ravi car son estomac criait famine après les
galipettes qu'il venait de faire, notre homme en profita pour se régaler.
Il allait enfin prendre congé quand il remarqua une pièce de dix
francs dans la soucoupe de sa tasse de café:
- Ce que vous avez fait pour fêter mon départ est vraiment formidable,
et je vous en remercie du fond du cur... Mais je ne comprends pas bien
ce que fait là cette pièce de dix francs?
- Hier soir, quand j'ai dit à mon mari, que c'était votre dernière
tournée et qu'il serait bien de vous faire un cadeau, il m'a répondu
" Donne-lui 10 balles et qu'il aille se faire foutre! "... Le petit
déjeuner, c'était mon idée.
C'est un garçon de 18 ans qui se présente devant la porte d'une
maison à la réputation douteuse en traînant derrière
lui une grenouille écrasée. La patronne de la boite étonnée
demande au garçon ce qu'il veut !
- Je voudrais passer un moment avec une de vos filles, j'ai de quoi payer et
j'en veux une qui ait une (voire plusieurs) maladie " honteuse ".
La patronne est de plus en plus étonnée mais n'a aucune hésitation,
une de ses filles ne rapporte plus d'argent depuis un certain temps à
cause de la maladie honteuse qui a fait le tour des clients habituels, alors
comme le garçon insiste et qu'il a de quoi payer...
Après un petit quart d'heure, le garçon revient, le sourire aux
lèvres...
La patronne n'y tenant plus lui demande pourquoi il a insisté pour avoir
une fille malade
- Ce soir mes parents vont dîner au restaurant, et ils font venir une
baby-sitter, la baby-sitter aime bien les garçons et je suis sur de lui
refiler la maladie. Quand mes parents vont rentrer, mon père va ramener
la baby-sitter, mon père aime bien la baby-sitter, elle va lui refiler
la maladie Quand mon père va rentrer, il va la refiler à ma mère
qui la refilera au facteur demain matin et c'est "CE MAUDIT DE FACTEUR
QUI A ÉCRASÉ MA GRENOUILLE"
Ce qu'ils pensent d'elles... Voltaire (1694-1778)
Les femmes ressemblent aux girouettes, elles se fixent quand elles se rouillent...
Talleyrand (1754-1838)
Une femme laide lui avait déclaré :
- Il parait, Monsieur, que vous vous êtes vanté d'avoir obtenu
mes faveurs.
Talleyrand répondit :
- Oh non, Madame, sûrement pas vanté, accusé peut-être...
Alexandre Dumas (1802-1870)
Dieu, dans sa divine prévoyance, n'a pas donné de barbe aux femmes
parce qu'elles n'auraient pu se taire pendant qu'on les eut rasées...
Victor Hugo (1802-1885)
Je pense des femmes comme Vauban des citadelles : toutes sont faites pour être
prises. Toute la question est dans le nombre de jours de siège...
Socrate (470-399 av J.C)
Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse,
vous serez heureux, et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe,
ce qui est excellent pour l'homme...
Molière (1622-1673)
La femme est en effet le potage de l'homme, et quand un homme voit d'autres
hommes parfois qui veulent dans sa soupe aller tremper leurs doigts, il en montre
une colère extrême...
Pierre Marivaux (1688-1763)
Quand une femme est fidèle, on l'admire; mais il y a des femmes qui n'ont
pas la vanité de vouloir être admirées...
Montesquieu (1689-1755)
Les Français ne parlent presque jamais de leurs femmes : c'est qu'ils
ont peur d'en parler devant des gens qui les connaissent mieux qu'eux...
Gérard de Nerval (1808-1855)
Le premier qui compara une femme à une rose fut un poète, le second
fut un imbécile...
Alfred de Musset (1810-1857)
Qu'est-ce après tout, qu'une femme ? L'occupation d'un moment, une coupe
fragile qui renferme une goutte de rosée, qu'on porte à ses lèvres
et qu'on jette par-dessus son épaule. Une femme, "C'est une partie
de plaisir". Ne pourrait-on pas dire quand on en rencontre une " Voila
une belle nuit qui passe " ?
Gustave Flaubert (1821-1880)
La femme est un produit de l'homme. Dieu a créé la femelle, et
l'homme a fait la femme; elle est le résultat de la civilisation, une
oeuvre factice...
Alphonse Allais (1885-1905)
Joli paradoxe : la femme est le chef-d'oeuvre de Dieu, surtout quand elle a
le Diable au corps...
Groucho Marx (1885-1981)
A une dame très laide, Groucho Marx déclara :
- Je n'oublie jamais un visage, mais pour le vôtre, je ferai une exception.
"
Sacha Guitry (1885-1957)
A l'égard de celui qui vous prend votre femme, il n'est pire vengeance
que de la lui laisser...
Marcel Pagnol (1893-1974)
Il y a trois choses qu'une femme ne pardonne pas à un homme : le bien
qu'elle lui a fait, le mal qu'il lui a fait, et surtout le mal qu'elle n'a pu
lui faire...
Jean Anouilh (1910- )
Pourquoi perdre son temps à vouloir contredire son épouse ? Il
est beaucoup plus simple d'attendre qu'elle ait changé d'avis...
Oscar Wilde (1856-1900)
Les célibataires aisés devraient être lourdement imposés.
Il n'est pas juste que certains hommes soient plus heureux que les autres...
George Bernard Shaw (1856-1950)
On compare souvent le mariage à une loterie. C'est une erreur car, à
la loterie, on peut parfois gagner...
Jules Renard (1864-1910)
Si jamais une femme me fait mourir, ce sera de rire...
Bill Gates au purgatoire
Bill Gates meurt dans un accident de voiture (c'est ce qui arrive quand on essaie
de mettre des ordinateurs de bord sous Windows millenium).
Il se retrouve au purgatoire, accueilli par Dieu lui-même...
- Bonjour Bill, c'est un grand honneur de t'accueillir ici. Cependant, je dois
te faire un aveu: personne, et même pas moi, ne sait si l'on doit t'envoyer
en Enfer ou si tu dois rester avec nous au Paradis. Après tout, tu as
énormément aidé tes contemporains en permettant qu'il y
ait un ordinateur dans chaque foyer, et pourtant tu as créé ce
si mauvais système d'exploitation...
Alors pour toi, je vais faire quelque chose que je n'ai encore jamais fait:
tu vas pouvoir choisir toi même l'endroit où tu passeras l'éternité!"
Bill répond:
- Eh bien, heu... merci Dieu. Mais quelle est la différence entre Enfer
et Paradis?
Dieu lui explique:
- Ne t'en fais pas: tu vas pouvoir visiter les deux endroits et ainsi tu te
feras ton opinion par toi même.
- Super, alors, où vais-je d'abord?
- Tout d'abord, tu vas faire la visite de l'Enfer.
Et c'est ainsi que Bill atterrit en Enfer.
Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté.
Il y a de superbes plages de sable blanc, l'eau est cristalline, la population
n'est composée que de jeunes femmes nues, ravissantes, batifolant en
tout innocence. Le ciel bleu azur n'est traversé que par les rayons d'un
soleil amical, et la température est optimale.
À ce stade, Bill est déjà conquis.
- Si c'est ça l'enfer, alors j'ai vraiment hâte de voir le Paradis!
C'est le moment que Dieu choisit pour expédier Bill au Paradis.
Dans cette nouvelle contrée, la température est agréable,
les anges chantent et jouent de la harpe, tout le monde semble gai et heureux...
mais il manque ce petit quelque chose qui rendrait l'endroit excitant. Disons
le tout net: tout ça semble un peu terne et aseptisé.
Aussi, en cinq minutes, Bill a pris sa décision:
- Hmmmm je crois que je vais choisir l'Enfer
- Très bien. Il sera fait selon tes désirs.
Deux semaines plus tard, Dieu décide d'aller voir comment Bill se comporte
en Enfer.
Lorsqu'il arrive, il voit son " protégé " enchaîné
à un mur au milieu des flammes, hurlant et implorant la pitié
de tous les diablotins alentours.
-Alors, comment ça va Bill, demande Dieu avec un petit sourire narquois.
D'une voix empreinte d'angoisse et de ressentiment,
- C'est atroce! Ce n'est pas du tout ce que j'attendais. Je ne comprends pas
ce qui m'arrive.
Qu'est devenu l'endroit que j'avais visité avec la plage et les jeunes
filles nues jouant dans l'eau?
- Ah ça... C'était l'économiseur d'écran!
Perles du primaire...
- Pour nous faire mettre en rang, le maître nous enfile les uns après
les autres.
- Le CM2 fait partie de l'ère primaire.
- Le problème de la violence à l'école, c'est quand les
filles griffent les garçons avec leurs ongles.
- Les collèges portent tous des noms d'écrivains comme Henri IV
ou Pasteur.
- Je n'aime pas que mes parents viennent me chercher à l'école
parce que je crois qu'ils sont un peu plus cons que les autres.
- L'archéologie permet de retrouver des vieux abandonnés dans
la terre par leurs enfants.
- Quand ils voyaient la mort arriver, les Égyptiens se déguisaient
en momie pour ne pas se faire repérer.
- Au cirque des Romains, les radiateurs mangeaient des lions pour faire rire
les gens.
- Les esclaves des Romains étaient fabriqués en Afrique, mais
n'étaient pas de très bonne qualité.
- Les parents de Jésus s'étaient déguisés en boeuf
et en âne pour échapper au méchant Hérode.
- Jésus vit avec sa mère au catéchisme...
- Les Gaulois habitaient dans des puttes...
Je n'avais jamais compris pourquoi les besoins sexuels des hommes et des femmes
sont si différents. Je n'avais jamais compris toutes ces histoires de
Mars et Venus. Et je n'avais jamais compris pourquoi les hommes réfléchissent
avec leur tête et les femmes avec leur coeur. Une nuit de la semaine dernière,
ma femme et moi nous sommes couchés, nous avons commencé à
nous remuer sous la couette avec cet inévitable et coquin jeu de se toucher
mutuellement un peu partout... Moi j'étais déjà "bien
chaud" et croyais que c'était réciproque étant donné
le caractère osé de nos câlins mutuels... Mais à
ce moment précis, elle m'a dit :
- Ecoute... maintenant je n'ai pas envie mon amour, j'ai seulement envie que
tu me serres fort dans tes bras...
Stupéfait et très désappointé, j'ai hurlé
:
- QUOI ???
Alors elle a dit les mots magiques :
- Tu ne sais pas te connecter avec mes besoins émotionnels de femme.
Alors j'ai capitulé et, résigné, je me suis dit que cette
nuit je n'allais pas avoir de sexe, alors je me suis endormi. Le jour suivant
nous sommes allés faire du shopping au centre commercial. Je la regardais
pendant qu'elle essayait trois très chères mignonnes petites robes.
Comme elle n'arrivait pas à se décider pour l'une ou l'autre,
je lui ai dit de prendre les trois. Alors, toute joyeuse et motivée par
mes mots compréhensifs elle m'a dit qu'elle avait besoin d'une petite
paire de chaussures qui irait bien avec, qui coûtaient 600 euros la paire.
Ce a quoi j'ai répondu que cela me semblait parfait. Ensuite nous sommes
passés par la bijouterie du même magasin, d'où elle est
sortie avec des bracelets incrustés de diamants. C'était magique...
si vous l'aviez vue... elle était toute émue ! Je crois qu'elle
a cru que je devenais fou... Je crois qu'elle me testait lorsqu'elle m'a demandé
un très cher jeu de clubs de golf professionnel " première
classe ". Mais je crois avoir brisé tous ses schémas mentaux
lorsque je lui ai encore dit oui. A cette hauteur elle était presque
excitée sexuellement... Vous auriez du voir son visage !!! C'est alors
qu'avec son meilleur sourire elle m'a dit :
- Allons à la caisse pour payer.
J'ai eu beaucoup de mal à me retenir pour ne pas rire lorsque je lui
ai dit :
- Non mon amour, je crois que maintenant je n'ai pas envie d'acheter tout ça.
Franchement, vous auriez du voir son visage, elle est devenue très pâle
lorsque je lui ai dit : "Je veux seulement que tu me serres dans tes bras."
Et au moment où son impressionnant visage a commencé à
se remplir de colère et haine, j'ai simplement ajouté :
- Tu ne sais pas te connecter avec mes besoins financiers d'homme. Je crois
que je n'aurais plus de relations sexuelles avec elle avant le printemps 2015...
Raccourcis :
Alt + s : Poster un message une fois rédigé
Alt + h : Page d'accueil
Alt + m : Messages privés
Alt + f : Page des forums
Alt + a : Sujets actifs des forums
Alt + 1 : Dernier sujet actif
Alt + 2 : Avant dernier sujet actif
Alt + 3, Alt+4, Alt+5 : A vous de deviner ;-)